Poèmes de Léo-Pold Victoria
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Un soir ...Un soir
nos âmes s'échouèrent
comme des lames de mer
sur le rivage de sable.
Nos rêves sans trêve
agitaient cette grève
et le silence...
Le vent soulevait ta robe légère,
découvrant ta chair de sable
que j’'égrenais grain par grain
tel un refrain,
les vagues de nos corps
prolongeant la mer...
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