Poésies de Marc-Aurèle
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Emportés
Au musée des itinéraires
Elle vit au fond des tableaux
Recoins, troubles, légèreté
Où l'ombre et la lumiere
Se cisaillent
Elle vit comme ces personnages
Frères ou enfants uniques
Fous, chercheurs, nus
Emportés.
Echafauds
Tu sais,
J'ai perdu la force de fatigue
Et les nuits, gravement, à la Santé
Paraissent infirmes
L'annulation de la jambe
Est le premier raccourci
Pour les chats factices
Ceci est une concession à perpetuité
Et purement gratuite
A la veille...
A la veille de l'instant,
Il y eut la disparition
L'automne d'elle
Et la démence en éclat furtif
Présence en mystère
Brassai pour la nuit
En nous,
Il y a
Des femmes blanches
D'art nouveau
Retour au menu Écrire à l'auteur de ces poèmes : pierre.barbey@wanadoo.fr